Bâtir une organisation diversifiée et inclusive
Malgré les efforts accrus pour mettre en place une stratégie de diversité et d'inclusion, il reste encore le défi d’exécution.
Soixante-neuf pour cent des organisations estiment la diversité et l’inclusion des employés, d’une manière judicieuse et profitable à tous, comme une priorité stratégique, cependant les responsables RH ont encore du mal à tenir l’entreprise responsable des résultats de la D&I.
De nombreuses approches de D&I bien intentionnées sont programmatiques, dépendantes de la personne ou basées sur une expérience ou un événement ponctuel. En outre, la plupart des organisations constatent que les mesures d’évaluation des stratégies de D&I ne sont pas surveillées ou sont déclassées par rapport à d’autres objectifs commerciaux.
Intégrer les stratégies de diversité et d'inclusion en milieu de travail
Bien que les initiatives de diversité et d’inclusion soit une priorité absolue, les organisations doivent définir une stratégie qui entraîne non seulement un réel changement, mais également un plan de mise en œuvre d’accompagnement aligné sur les priorités de l’organisation et intégré aux points de décision. Les responsables RH peuvent le faire en créant de petites interventions pour s’assurer que les systèmes fondamentaux qui sous-tendent les processus, la culture, la formation, le recrutement et les mesures qui sont conçus pour maximiser les résultats des stratégies D&I.
la diversité et l’inclusion des femmes au Maroc et en Afrique
« Les femmes marocaines représentent un réservoir de talents largement inexploité. Renforcer le rôle des femmes sur le lieu de travail stimulera la performance des entreprises marocaines et accélérera la reprise « , a déclaré Xavier Reille, directeur pays de la SFI pour le Maghreb. « Nous espérons que notre partenariat avec le Groupe OCP encouragera davantage d’entreprises à s’engager en faveur de l’égalité des sexes sur le lieu de travail. »
Le partenariat actuel entre l’IFC et l’OCP s’ajoute à un partenariat antérieur entre les deux parties visant à renforcer le secteur du riz en Côte d’Ivoire et celui du mil au Sénégal, contribuant ainsi à améliorer le niveau de vie de milliers de petits producteurs. Le partenariat s’inscrit dans un objectif commun de promotion du développement au Maroc et à travers l’Afrique dans divers secteurs, notamment l’agriculture, la recherche et l’éducation.